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Bienvenue sur le site du C.S.T.T. Seilles - N146
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Bienvenue sur le site du C.S.T.T. Seilles - N146
14 mars 2017

SEILLES A DU 50%, MAIS AVEC LA « B » ENCORE PLUS

SEILLES A DU 50%, MAIS AVEC LA « B » ENCORE PLUS PRES DES ETOILES !


En division 3,
Seilles « A » / TT Vedrinamur « J » : (2/6) 6/10.
Face aux voisins du terrain de l’Arquet, solides leaders de la division, il allait falloir déployer moults artifices pour faire sauter les multiples verrous et tenter de décrocher le graâl.
La partie démarrait sur un mode mineur pour les seillois, le marquoir affichant 1/4, puis 2/5 et 2/6 à l’heure de presser les citrons. La seconde mi-temps voyait nos troupes encaisser d’emblée un 3/0, avant de terminer en force par un autre 3/0, en notre faveur cette fois. Au final, une prestation honorable face à une opposition très consistante.
Michel Simon (2) va deux fois au 5ème set, preuve d’une grande combativité, et ajoute une C4 à son tableau de chasse. Il rentre toutefois bredouille face à François Vermeulen, C4. ‘Mich’, le sourire et un physique « d’enfer ». Philippe Delannoy (2), malgré des douleurs bien récurrentes, se comporte aussi bien que son acolyte et fait preuve de courage et d’abnégation face à Marc Liégeois, C6, lequel succombe à la belle. Ludovic Piette (1) ne veut pas faire « buisson creux » et règle Audrey Comein, C4. Michel Ramelot (1) accouche d’un succès dans la douleur (3/2) face à la souriante Audrey.
L’équipe « squatte » le ventre mou de la division.

En division 4,
Seilles « B » / TT Loyers « D » : (6/2) 10/6.
C’était le choc des titans : deux équipes invaincues, ayant toutes deux concédé en tout et pour tout deux nuls et restant vierges de défaite à ce jour. A l’aller, la « B » avait arraché le nul après avoir été menée 8/5… autant dire que nos gars ne souhaitaient pas à nouveau connaître de telles sueurs froides.
Et de fait, après un départ laborieux (0/2), le rouleau compresseur se met en marche et arrache… les victoires. Résultat : 6/2 à la pause. La tendance est (bien) inversée. La suite est une bonne gestion de nos fins stratèges qui propulsent le marquoir vers 7/3 puis 9/3 (avec deux des trois matches en cinq sets !), le « point » de la victoire des œuvres de ‘Frenchie’. La pression retombe, la soupape de la casserole ne rugit plus, les artistes se relâchent. Le titre se profile, même si un match difficile nous attend encore face à Andoy.
André Grenson (4) est le (saint) patron de l’équipe, même si Julien André et Christian Pecheux tentent de l’épuiser au 5ème set. Doté d’une vista d’extraterrestre, notre stratège est capable de déjouer les pièges tendus par les plus audacieux. Francis Sorée (3) suit un parcours quasi identique à celui d’André, mais doit baisser pavillon face à Julien André. Le même Christian fait de la résistance face à ‘Frenchie’ qui a cependant le dernier mot. Steve Piot (2) est le seul à vaincre Christian 3/0 et passe à deux doigts (2/3) de s’adjuger Thierry Claude. ‘Stivi’ a assurément encore (bien) mouillé son maillot. Axel Léonard (1) score brillamment (3/1) face à Julien André et ajoute une perf à sa fiche, tout comme Steve face à Christian.
Notons l’âpreté - toute sportive - des débats après la pause avec six matches (3/3) sur huit en cinq sets… Deux équipes qui ont assuré un spectacle total.
Seilles « C » / Champ d’en Haut « H » : (0/8) 5/11.
Les leaders incontestés de la série alignent un D0 et trois D2… autant dire que la soupe à la grimace baigne dans nos rangs.
La mi-temps est sifflée sur une ‘espagnole’, Denis Brisfer et Michaël Lemal tentant de contester (défaite 2/3) l’hégémonie namuroise. La seconde partie de la rencontre voit nos troupes plus disciplinées qui emportent cinq des huit rencontres pour amener un score plus en adéquation avec la valeur intrinsèque de nos joueurs.
Olivier Chiaradia (2) remporte brillamment deux matches et s’octroie deux perfs. Denis Brisfer (2) tourne au même régime qu’Olivier, mais arrache un magnifique succès à la belle face à Etienne Guyot, classé D0. Deux perfs et presque trois, puisqu’il perd à la belle face à Raphaël Pieters, D2. Michaël Lemal (1) ‘atomise’ Etienne Guyot sur le score de 3/0 : un authentique exploit. Nous allons lui demander la recette !!! Lui aussi s’incline à la belle face à Raphaël. Sébastien Roland, bombardé dans un match des plus difficiles, aurait mérité une victoire face à Raphaël (défaite 2/3).
Au final, une défaite avec tous les honneurs.


En division 5,
Seilles « D » / TT Rail Club Namur « E » : 16/0.
Partie assez déséquilibrée, compte tenu de la différence de classement des joueurs : deux D4, un D6 et un E2 chez nous pour un E2 et trois E4 au Rail.
La machine salzinnoise allait évoluer sur des rails tordus qui devaient inévitablement la faire dé…railler. Sans se départir à aucun moment de son courage, le Rail a tenté d’annihiler les coups de butoir assénés par notre carrosse, lequel a continué, la partie durant, à progresser contre vents et marées.
A la manœuvre de cet attelage, Jérôme Pirsoul, Victor Mennen, Disma Perin et Fabian Sente n’ont jamais senti la moindre faiblesse ou connu un infime relâchement, sept sets étant arrachés par nos adversaires.
Chacun dans leur style, revers bien dosés, attaques percutantes, picots dévastateurs et tailles acérées ont eu raison d’adversaires toujours fair-play.
L’après-match allait continuer à soigner la convivialité.

Seilles « E » / TT Rail Club Namur « D » : (6/2) 11/5.
Légèrement supérieure en classements, la « E », dans cette rencontre sans enjeu pour les deux équipes, ne pouvait toutefois pas se permettre de bâcler l’ouvrage face à un adversaire qui avait soif de revanche (sportive) après le match-marathon de l’aller (6/10 et huit matches sur seize disputés en cinq sets !).
Après une défaite subie par André Hanoul des œuvres de Julien Pierron, classé E2, diamant brut du Rail et bourreau de notre équipe, nous scorons quatre fois pour « confectionner » un joli 6/2 à la pause. S’en suivent trois victoires qui permettent de faire « glisser » les trois points dans notre escarcelle. Les quatre dernières confrontations se partagent de manière parfaitement équitable (2/2).
Vincent Angelicchio (2), plus à l’aise à l’échelon supérieur, « calcine » face à des jeux plus lents lui permettant difficilement d’imposer ses qualités techniques. Philippe Mallien (2), fort logiquement émoussé par une vie professionnelle trépidante, sue sang et…eau. Bataillant ferme, il va deux fois au 5ème set (1/1) : deux succès confirment sa brillante force de caractère. André Hanoul (3) inscrit un point « stratégique » à 3/1 pour faire 4/1 face à Matthieu Viaene, classé E0 : ses services et revers font encore merveille ce samedi : étonnantes accélérations et diversité de jeu ne constituent qu’une infime partie de ses atouts. Jean-Loup Noël (4), une fois n’est pas coutume, quitte l’aire de jeu vierge de défaite : une « clean sheet » qui demande confirmation pour donner – enfin – des couleurs à une feuille bien pâle à ce jour.
Blagues et chansonnettes « pimentées » égaient ensuite la « séance de débriefing ».


En division 6,
Seilles « F » / Vedrinamur « T » : (3/5) 7/9.
Telle la fable du lièvre et de la tortue, notre équipe a couru après le score le match durant pour abandonner les trois points à l’issue de la belle dans la dernière rencontre. Malgré un jeu égal après le repos (quatre victoires de chaque côté), le retard de deux unités concédé n’a pu être résorbé.
Gérard Blavier (3), notre doyen septuagénaire, développe subtilement intelligence et patience pour engranger trois succès qui ne doivent rien au hasard. Tel une pieuvre, ses tentacules attendent le moment le plus propice pour porter le coup de jarnac à sa proie. Dany Bertrand (3), notre truculent président, se met au diapason de la pieuvre ou, plus gentiment exprimé, de son pote wépionnais et passe à un poil de c.. du sans faute (battu 2/3 face à Hector Ceulemans). Christian Pardon (1), très motivé, récolte les fruits de sa sueur lors d’un intense échauffement ce samedi après-midi avant match. Cette récompense puise aussi sa source dans sa soif d‘apprendre aux entraînements. Fabian Damanet ne peut alimenter le marquoir, malgré d’évidents progrès. Fabain ne manque pas de courage. La spirale est positive et lorsque la mécanique commencera à bien tourner, plus rien ne pourra l’arrêter.

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