14 ème semaine .

TROIS SUCCES, TROIS NULS : NOTRE VIRGINITE DE DEFAITE N’EST PAS POUR NOUS DEPLAIRE.

En division 3,

Andenne « H » / Seilles « A » : (2/6) 5/11.

Un beau derby que nous avons maîtrisé du début à la fin, hormis le match d’ouverture. Avec application et détermination, notre quatuor n’a jamais faibli. Patrice Hubin (4) est impérial  (12 sets à 1) et continue à engranger les victoires : son carton est sur le point de déborder… pour notre plus grand bonheur ! Ludovic Piette (4) mérite les mêmes éloges que Patrice et recevoir en prime le prix de la combativité (trois matches arrachés au 5^ème set !) : le signe d’une excellente condition physique. Francis Sorée épaule très bien ses équipiers en alignant trois succès : Francis reste un pilier (quasi) inébranlable. Philippe Delannoy, meurtri par de multiples blessures, n’a pas le rayonnement que tout un chacun lui reconnaît, mais son « absence » passagère ne compromet nullement un net succès dans les chiffres mais… moins évident sur le terrain !

En division 4,

Andoy « G » / Seilles « B » : (1/7) 2/14.

En terres namuroises, la « B », supérieure en classements, a imposé sa puissance et n’a guère connu de sueurs froides. Michel Simon confirme en effet le succès dès le 10^ème match. Michel et Steve Piot abandonnent deux sets pour trois dans le chef de Olivier Chiaradia. André Grenson sourit deux fois et aurait pu le faire une troisième fois (défaite au 5^ème set). Un succès aisé dans les chiffres à confirmer dès samedi prochain. Michel, André, Olivier et Steve sont tous dans une spirale positive : que la roue… du succès ne s’arrête pas de tourner pour eux et qu’ils continuent à nous faire vibrer de bonheur.

Mont « B » / Seilles « C » : (4/4) 8/8.

Quel combat sur les hauteurs mosanes ! Un score qui fait le yo-yo, donne le tournis et entérine au final un nul dans un match… pas si nul que cela. Mickael Christophe (3) arrache, à la belle, le 8/8 (lors du dernier match) face au C6 : sa régularité et son ardeur au combat sont évidents. Axel Léonard (2) continue à récolter les succès et à faire étalage, à table, d’une grande aisance et d’une décontraction trompeuse. Michael Lemal (2), après un premier match perdu au 5^ème set face au C6 et une autre « défaillance », redresse la barre et réalise une perf contre le D2. Denis Perin (1) s’incline à la belle contre le D2, mais apporte le point du nul, arraché de haute lutte, à l’instar de la « F » et de la « D ». Le potentiel et la motivation de ces artistes ne font aucun doute.

En division 5,

Andenne « M » / Seilles « D » : (5/3) 8/8.

Face à trois jeunes andennais prometteurs et bien drillés, encadrés par une charmante « maman », bien efficace et patiente à table, le quatuor seillois a couru après le score la partie durant. Un éblouissant Denis Brisfer (4) a « déchiré » les joueurs locaux, distillant avec intelligence moults coups gagnants. Disma Perin (3) a, une fois encore, fait étalage de sa parfaite condition physique : fléchage, marche (ou course) tous les dimanches matins et parfois défléchage ne sont certes pas étrangers à cette forme olympique. Jean-Loup Noël arrache un match à la sueur de son front et lance son essuie comme un cerf-volant, relâchant ainsi la pression de sa marmite interne. Vincent Angelicchio, dans un jour sombre, ne trouve pas la lumière pour illuminer la salle de coups dans il a le secret. Un nul plutôt inespéré sanctionne ce derby passionné et passionnant.

Andenne « N » / Seilles « E » : (2/6) 3/13.

Le score laisse entrevoir une partie de plaisir. Que nenni ! Face à quatre anciens seillois (un match dans le match !) prêts à mourir pour défendre leurs nouvelles couleurs, nos gars ont dû s’appliquer à chaque instant. Une « kirielle » de sets se sont en effet terminés sur le plus petit écart. Le « patriarche » Claude Moreau, le « capitaine » Alain Fraiture, le « posé » Patrick Splingaire et la « pétillante » Aurélie Renneson nous ont fait tourner la tête et… ce n’était pas mon manège à moi ! Le blagueur Dany Bertrand anesthésie toute opposition pour se retirer vierge de toute blessure. Dany a peut-être des talents d’hypnotiseur comme Mesmer…         Le malicieux Fabian Sente torture certaines de ses victimes : au jeu du chat et de la souris, notre (pulpeux) matou est passé expert et ses proies connaissent la sentence… la mort ! Quentin Hastir n’est pas en reste : le « rapace » plante ses serres à trois reprises. Il succombe toutefois aux charmes (bien réels) d’Aurélie : par galanterie ou par manque de concentration, chacun jugera. André Hanoul est encore plus généreux : le chantre de Notre Dame (pas le Bossu) reste muet à la communion et à la sortie de la grand-messe. Son organe a trop donné et reste un peu court sur la distance… sans conséquence sur ce succès en équipe.

En division 6,

Loyers « I » / Seilles « F » : (5/3) 8/8.

Après un bon départ (0/2, 2/3), la « F » a encaissé un cinglant 5/0 qui laissait, en principe, peu de chance pour renverser la vapeur. Le « TGV » visiteur a alors embrayé pour aligner deux succès consécutifs, précurseurs d’heures meilleures (7/5). Martin Hubinon « assassine » alors notre Fabian Damanet pour amener un 8/5 bien cruel. Grossière erreur, car il fustige Delphine Perin, Simon Lona et enfin Gérard Blavier qui crucifient alors leurs opposants. Un nul inespéré pour nos valeureux soldats. Gérard Blavier, général de brigade, règne en maître (12/0 !!!). Simon Lona est un superbe lieutenant, alignant trois succès. Delphine Perin offre brillamment le point du nul, témoin de ses constants progrès. Fabian Damanet continue à évoluer dans le droit chemin et à se bonifier : pour lui, le succès n’est plus très loin.